Depuis l’apparition du mouvement contre la chasse à courre AVA en 2017, des tombereaux de plaintes ont été déposés par les tenants de cette pratique pour tenter d’intimider et de criminaliser l’opposition naissante. En vain, fort heureusement !
Depuis l’apparition du mouvement contre la chasse à courre AVA en 2017, des tombereaux de plaintes ont été déposés par les tenants de cette pratique pour tenter d’intimider et de criminaliser l’opposition naissante. En vain, fort heureusement !
C’est un chapitre judiciaire important qui vient de se conclure aujourd’hui pour notre mouvement d’opposition à la chasse à courre, et ce de la meilleure des manières. 📜
Mardi 29 janvier dernier, un suiveur de l’équipage Bonnelles-Rambouillet faisait usage d’un gaz incapacitant sur les AVA en train de documenter la mort d’un cerf. Pour port d’arme et violence aggravée, il vient d’être condamné par le Tribunal Correctionnel de Versailles à 2 mois de prison avec sursis et à
La Justice a tranché, voici les peines prononcées à l’encontre des agresseurs de Claire et Christophe : – 10 mois de prison avec sursis pour le piqueux de l’équipage, avec un an d’interdiction de chasser 📯🚫 – De 6 à 8 mois de prison avec sursis pour les quatre
Mardi 16 juillet a enfin eu lieu l’audience au Tribunal de Rennes des agresseurs de Claire et Christophe. Pour rappel, ces deux AVA avaient été sauvagement agressés alors qu’ils suivaient une chasse à courre pour en exposer les méfaits, Christophe étranglé au sol et Claire la tête maintenue sous l’eau
Le samedi 2 février dernier, alors qu’ils suivent une chasse à courre pour la documenter et en exposer la barbarie au monde, Claire et Christophe sont sauvagement agressés. Claire est frappée, jetée au sol et emmenée dans un fossé où on lui maintient la tête sous l’eau jusqu’à suffocation. Christophe,
La répression contre le mouvement AVA vient de passer un palier. En pleine vacances, l’Office National des Forêts, représentant de l’Etat, assigne 3 personnes au Tribunal de Grande Instance de Compiègne et leur réclame pas moins de 55.000 euros. La raison ? La présence de gens en forêt aurait